De projet 365 jours |
J’étais aussi coincé que le couillon qui vient d’abattre ses derniers atouts face à une tablée de requins blancs. La feutrine verte des tables de jeu sert de linceul à tous les culs terreux galvanisés par la brillance des néons. La réalité est âcre et mordante dans tous les tripots. Elle ne vous assaillent pas les mollets. Elle vous prends à la gorge et vous force à respirer la langue tirée …
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La dernière cigarette du condamné (et si on ne fume plus, on meurt comment alors... ?)
La double-peine en somme...
Anonyme a dit…
28 janvier 2008 à 07:19